Thierry VILLET mène une quête de la forme, pure, réduite à sa plus simple expression. Tantôt figuratives, tantôt abstraites, ses pièces ne retiennent que l’essentiel.
Sa maîtrise de la pierre renforce son propos par un remarquable travail de lissage des surfaces : calcaire de Carennac, pierre de Lens (Nîmes) et marbre. L’économie des moyens n’est qu’apparente, derrière la pudeur et la simplicité du vocabulaire, il y a la force d’un mystère.
Il se réfère parfois à Ferdinand PARPAN qui avait tout comme lui la passion des formes pures et lissées.
Il plonge le spectateur dans un monde de réflexion et de tranquillité, un monde silencieux, tel est le projet de l’artiste.